Sur l’établi de JEANNE SIMONE
Alors vint l’été… Les festivals annulés avaient laissé la place à l’intégration de ces événements.
Comment cette expérience récente avait-elle transformé nos corps, nos relations à soi, à l’autre, au consentement (j’embrasse ou pas, on me touche, ou pas…), notre rapport au monde. Ce monde d’après n’était-il pas d’abord en soi, au plus profond de nos chaires. A quoi ressemblait un bronzage avec masque? Habiter son corps, son petit territoire, aimer les siens retrouvés, vivre à hauteur d’homme et vibrer à hauteur de femme… Allait-on faire des ricochets avec nos écrans trop regardés? Comment était-ce possible que la frénésie reparte si vite si fort? Comment faire pour préserver le temps regagné, la respiration espérée, le temps de cerveau disponible reconquis?
A regarder la rentrée, la tête nous tournait, ambivalente sensation de joie d’y retourner enfin et tension de ne pas vouloir que ça recommence à l’identique. Improviser avait été le maitre mot, à se tatouer pour ne pas l’oublier.
A venir

SENSIBLES QUARTIERS
Pronomade(s) en Haute-Garonne,
CNAREP à St Gaudens (31)
SENSIBLES QUARTIERS
L’Empreinte, scène nationale de Brive/Tulle à Brive (19)
SENSIBLES QUARTIERS
Le Liburnia, Libourne (33)
SENSIBLES QUARTIERS
Le Manége, Scène nationale de Reims (51)
SENSIBLES QUARTIERS
La Passerelle, scène nationale de St Brieuc (22)
Les créations


Peau

L'air de rien

La grande surface

Sensibles quartiers

Une foret d'écoutants

Nous sommes

Mademoiselle

Le parfum des pneus
Jeune public


A l'envers de l'endroit

Gommette

Des mondes
Lettre d'informations
